ÉTHIQUE SPORTIVE

Les étudiants-athlètes membres du programme d’excellence des Citadins sont de véritables ambassadeurs de l’Université du Québec à Montréal. Détenir ce statut au sein d’une institution telle l’UQAM implique certaines responsabilités et une conscience particulière. 

Politique anti-dopage

Le programme d’excellence sportive des Citadins propose un environnement qui prône des valeurs telles que la santé, le bien-être, l’esprit sportif et le respect (dans ses nombreuses significations). De ce fait, ledit programme est strictement opposé à l’usage par ses membres de n’importe quelle substance, drogue améliorant les performances physiques ou de quelconques pratiques interdites par le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) et par l’Agence mondiale antidopage (AMA). 

De plus, le Centre sportif de l’UQAM est opposé à ce que les dirigeants (entraîneurs, professionnels de la santé, spécialistes de la science du sport, administrateurs, gérants d’équipe, etc.) des différentes équipes des Citadins fassent la promotion et l’usage de telles substances, drogues ou pratiques auprès des membres des formations.

Selon Sports U (USports), les pratiques suivantes sont assujetties aux règles antidopages :

• Utilisation ou tentative d’utilisation ;
• Corruption ou tentative de corruption du processus de contrôle antidopage ;
• Refus ou dérobade à un contrôle ;
• Possession de substances interdites ;
• Absences à un contrôle et information manquante sur la localisation de l’athlète ;
• Commerce ou tentative de commerce de substances interdites ;
• Administration ou tentative d’administration d’une substance interdite.

L’étudiant-athlète membre des Citadins doit se soumettre lorsque requis aux contrôles antidopage. S’il refuse, il deviendra inadmissible à participer aux compétitions. De plus, le Comité de discipline statuera quant à son avenir au sein du programme des Citadins.